(résumé en cours)

En commençant par confirmer Michel Der Zakarian au poste d’entraîneur et en vendant Dimitri Payet à Saint-Etienne au prix annoncé il y a une quinzaine de jours, Xavier Gravelaine s’est inscrit dans la totale continuité de Rudi Roussillon et de Jean-Luc Gripond. (Club)

On ignore encore ce que va être le projet sportif de Luc Dayan. Car à force de parler des transactions, des propriétaires, des actionnaires, des présidents, de Dassault, on en oublierait presque l’essentiel : le terrain. (Club)

C’est un règne qui débute mal et la déception est à la hauteur des espérances que les événements des dernières heures avaient suscitées. Bien sûr, Luc Dayan a tout de même livré une bonne nouvelle au cours de sa première conférence de presse en tant que dirigeant numéro un du club : la confirmation du prochain départ de Jean-Luc Gripond que Serge Dassault avait déjà annoncé. (Club)

Rudi Roussillon a annoncé samedi qu’il ne serait plus le président du FC Nantes. Luc Dayan, un des repreneurs potentiels, prend sa place. Trouver des partenaires à hauteur de 15 millions, telle sera la mission que Dassault lui a confié, tandis qu’une recapitalisation permettra de rééquilibrer des comptes dont le déficit est estimé à 12 millions. (Club)

Les supporters nantais ont montré que leur saison ne s’était pas arrêtée après Nantes / Toulouse et que la préparation de l’intersaison ou les atermoiements sur la vente du club n’allaient pas dans le sens de leurs revendications. Deux « actions » ont donc été organisées en ce mercredi 6 juin. (Club)

A vendre ? Pas à vendre ? Le FC Nantes n’en finit pas d’alimenter les rumeurs. Après Dayan, Florès, le groupe Pichet, l’ex-arbitre Gonon, un groupe inconnu coté au CAC40, le recycleur, on ne rigole pas, Derichebourg, un autre acteur serait entré dans la danse. En effet, Waldemar Kita serait lui aussi toujours intéressé par un retour dans le milieu du football professionnel (Club)

Nantes est en Ligue 2. Le terrain a été envahi à la fin du match contre Toulouse. La démission de la direction a été demandée. Da Rocha et Savinaud ont été plébiscités. Mais rien ne se passe. Ah si : Savinaud est parti. Contre son gré et celui des supporters. D’autres vont suivre et on a peur que Da Rocha s’inscrive dans le lot. (Club)

Après Luc Dayan et Alain Florès, interrogés la semaine dernière, voici le tour de Daniel Augereau. Lui aussi a un projet. Différent puisque son plan n’est pas de reprendre le FC Nantes, du moins pas tout de suite, mais d’entrer dans le capital aux côtés de Serge Dassault. (Club)

Le sujet est évidemment sensible. Le FC Nantes est-il à vendre ? Serge Dassault en a-t-il assez ? Les observateurs sont à l'affût. Dès lors la moindre rumeur peut grossir artificiellement. Ainsi aujourd'hui a circulé le bruit, présenté comme quasi certain, que Serge Dassault aurait déjà signé un compromis de vente. (Club)

C’est fait : Nantes a dit, par une défaite logique mais nullement infamante, adieu à la L1. L’événement, qui était déjà écrit depuis plusieurs semaines, a eu lieu à Lyon. Lequel en l’occurrence célébrait son sixième titre et fêtait le départ de Claudio Caçapa. Ce dernier a porté ses couleurs pendant six ans et demi. C’est bien. Mais c’est beaucoup moins que Savinaud et Da Rocha chez les Canaris. (L1)

A l'heure où le PDG de Synergie Daniel Augereau fait feu de tout bois pour signaler que de la reprise il en a. A l'heure où François Pinte, employé de Synergie et candidat UMP à Nantes, profite des malheurs du FC Nantes pour organiser un tractage politique indigne à La Beaujoire dont l'intitulé « FCNA J'Accuse Jean-Marc Ayrault » ferait frémir Zola d'horreur, il n'est pas inutile de rappeler comment Synergie traite les stadiers qu'elle fournit au FC Nantes les soirs de matchs à La Beaujoire. (Club)

Voici comment les événements se sont déroulés. Lundi, nous avons publié un article où nous avons écrit, en parlant des projets de reprise éventuels, que Dayan serait un nouveau Gripond. Désireux tout de même d’en savoir davantage, nous lui avons ensuite téléphoné pour une interview. (Club)

Ce fut donc une soirée particulière que celle de samedi. Quand à Nantes le terrain est envahi, il se passe toujours quelque chose. Un titre comme en 2001. Un miracle comme en 2005. Ou une descente en Ligue 2, comme cette fois. (Club)

Nantes n’a pas battu Toulouse, le sore était encore de 0-0 lorsque le terrain fut envahi à trois minutes de la fin, pacifiquement. L’arbitre estima pourtant qu’il valait mieux ne pas reprendre. Elie Baup, « le père spirituel » de Calamity Fab, triste référence, a applaudi. Le FCN a ainsi quitté la Ligue 1 de manière non conformiste, comme si ses fans étaient les derniers à défendre ses valeurs. (L1)