(encours)

En marge de la rencontre, le bon sens a finalement prévalu ce soir à La Beaujoire. Grâce notamment aux supporters et aux dirigeants du Paris SG. Une marche silencieuse et digne, pas de minute de silence demandée, pas de brassard noir pour les joueurs, pas d'animation pyrotechnique et pas de provocations. Sur le terrain, ce sont surtout les Parisiens qui ont fait le spectacle et qui méritaient de l’emporter. (L1)

Quelle pauvreté ! C'est avant tout le constat qui ressort de ce match entre une équipe nantaise médiocre et des Parisiens pas plus convaincants sur le plan collectif, mais qui disposent d'individualités d'un autre niveau. (L1)

Paris menait encore 1-0 et le spectacle demeurait assez pathétique quand le slogan est parti du kop nantais : « Roussillon – démission ! Roussillon – démission ! » Peu après, comme pour enfoncer le clou, Keserü a donné un ballon sur la droite à Dimitrijevic. Centre de l’ancien Briviste, reprise de la tête victorieuse de Da Rocha (L1)

Le FC Nantes, méconnaissable en première période, s’est repris peu avant l’heure de jeu. Après un premier but refusé, c’est Frédéric Da Rocha qui égalisa avec un brin de réussite. (L1)

Entre les graves incidents de jeudi dernier, la menace qui pèse sur les deux entraîneurs, la situation alarmante des deux clubs, on en oublierait presque ce qui devait pourtant constituer l’événement médiatique le plus important de cette rencontre : le retour de l’enfant prodigue. (L1)

Nous aurions pu revenir seulement 5 ans en arrière, peu avant le limogeage indigne de Raynald Denoueix, peu après le grave départ d’Eric Carrière. Il y eut effectivement un rendez-vous entre les deux clubs. C’était une 15ème journée. Nantes n’avait que 10 points. Il était 18ème. (L1)

Retour en photos commentées sur cette défaite nantaise. Les Lensois travaillent leurs gammes sur les coups francs offensifs (+de 50% de leurs réalisations). (L1)

Contre Saint-Etienne, le match avait duré quelques secondes de trop. A Lens, il a commencé quelques secondes trop tôt. Trop tard, trop tôt… Les Nantais n’arrivent décidément pas à être à l’heure et leur tableau de marche reste, lui, pile poil dans les temps d’une équipe qui s’enfonce vers la Ligue 2 (L1)

Les Canaris ont été surclassés. Georges Eo comptait sur le jeu, la rapidité des enchaînements et le mouvement pour enquiquiner les Lensois. Il n’y eu rien de tout ça. (L1)

Georges Eo : « Nous avons commencé le match avec une minute de retard. C'est un scénario forcément regrettable. (L1)

Le FC Nantes est toujours à la recherche de sa première victoire à l’extérieur. Si il ne rattrapera pas les points perdus lors de sa série pourtant positive de 3 matchs sans défaite, il serait temps, après 14 journées qu’il connaisse enfin les joies du succès hors de ses bases. (L1)

Les Nantes / Saint-Etienne ont l’habitude de rester dans les annales. Celui du 11 novembre 2006 ne déroge pas à la règle. (L1)

On imagine sans mal combien les supporters des Albigeois, 5 ème du groupe C avant cette rencontre, doivent pester contre ces réserves pros qui n'hésitent pas à aligner un fort contingent professionnel contre les amateurs. (CFA)

Franck Signorino est demeuré longtemps les mains sur les hanches, la tête basse, le visage défait, les yeux incrédules. Kevin Das Neves est resté assis sur la pelouse, prostré, regard dans le vague. (L1)

Pendant deux décennies, de 64 à 83 l’ASSE et le FCN se disputèrent l’hégémonie de la D1, cumulant 15 titres et ne permettant guère qu’au Marseille des Skoblar, Magnusson, Novi, d’émerger en 71/72. (L1)

Dans un monde en permanence convulsif, comme celui du sport professionnel où l'agitation tient souvent lieu d'action, le FC Nantes pouvait encore, il y a quelques années, tirer gloire d'avoir échappé à la séduction des apparences et résisté à la dictature de l'immédiat. (Chronique)

C’est donc cela les âpres luttes de fin de classement dans lequel le FC Nantes s’est inexorablement enlisé. Des combats. (L1)

Match médiocre entre deux équipes qui ont montré de sérieuses difficultés dans la construction. On était loin, côté nantais, des ambitions de jeu affichées face à Monaco. Pourtant, les Canaris ont bien failli repartir de Sedan avec trois points en poche (L1)

Il n'est pas rare de lire tel ou tel site Internet officiel de club réagir à des bruits de transferts ou répondre à telle déclaration peu amène d'un président adverse. Celui du FC Nantes est plus original. (Club)

C'est un vrai sommet de bas de tableau que les Nantais ont remporté samedi face à l'AS Monaco. Deux équipes extrêmement crispées, un rythme qui ne s'est accéléré qu'en fin de match. (L1)